Deirdre De Rhowan
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Deirdre De Rhowan
Prélude
D’une lance naquit une chevalière Einhasadienne de légende, fierté de son pic, elle dévastait les hordes de mort-vivant qui se mettait au travers de sa route. Des terres des exécutions jusqu’au tombeau impérial, zombie, squelette, fantôme ou revenant, de sa lance bénie, elle pourfendait sans relâche.
A tout juste 18 ans, Deirdre fut nommée porteuse de lumière après avoir réussi avec brio, son épreuve de foi. D’année en année, elle sillonnait les routes afin de secourir la veuve et l’orphelin. Une guerrière de renom dont on ne parler plus qu’à travers les récits héroïques.
10 ans se sont écoulé, Deirdre devint qu’un souvenir, une page de l’histoire que l’on comté aux enfants pour leur enseigner la bonne conduite mais les pluies de sangs, l’agitation anormale des morts-vivants et le réveille imminent de la déesse des enfers, la força à sortir de son long pèlerinage.
Quand ce fut le moment la porteuse de lumière sortie de son exode interminable au monastère du silence parmi les moines et les prêtres suivants de Solina, l’une des neuf filles d’Einhasad.
Elle devint une grande femme mesurant le mètre quatre-vingt-treize pour quatre-vingts kilos. Une stature plus athlétique qu’avant et des muscles saillants, malgré des courbes fines rappelle de sa féminité toujours présentes. C’est une humaine qui prend soin de son corps avec une certaine prestance, de naissance noble, elle sut tirer le meilleur de son enseignement et vécut dans son passé à Aden où ses parents, les De Rhowan, habitent encore. Ses cheveux sont d’un blond clair s’apparentant à la lumière du soleil et ses yeux bleus saphir rappelant la profondeur des mers du sud. Sa peau un peu hâlée et son regard autant inquisiteur que bienveillant en ont fait tomber plus d’un.
A Aden, dans la cour des nobles, Deirdre était surnommée « la nymphe », ce qui lui valut quelques rixes avec la gent masculine qui la voyait comme une beauté charnelle. Ce fut son lourd fardeau que de s’opposer aux hommes, car comme son père lui déclara un jour : « tu es tellement belle que les hommes ne verront en toi qu’un joué, voilà pourquoi nous t’avons appelé Deirdre, qui signifie en langage ancien, beauté douloureuse », il faudra t’armer de courage et affronter les hommes » ceux pourquoi elle resta vierge. Avec le temps, elle sut se faire respecter et dorénavant plus aucun homme ne s’y frotter au risque de s’y piquer car comme une rose, derrière la beauté peut se cacher d’innombrables épines.
Sa lance, son compagnon de voyage depuis toujours et son armure ne la quitte jamais. Les bals mondains ou les grandes occasions sont les seuls moments où vous la verrez habiller de tissu broder. Un collier serti d’un cristal autour du cou, qu’elle nomma « Cœur d’Einhasad », vous ne la verrez avec aucun autre accessoire pouvant la gêner pendant ses multiples combats.
A tout juste 18 ans, Deirdre fut nommée porteuse de lumière après avoir réussi avec brio, son épreuve de foi. D’année en année, elle sillonnait les routes afin de secourir la veuve et l’orphelin. Une guerrière de renom dont on ne parler plus qu’à travers les récits héroïques.
10 ans se sont écoulé, Deirdre devint qu’un souvenir, une page de l’histoire que l’on comté aux enfants pour leur enseigner la bonne conduite mais les pluies de sangs, l’agitation anormale des morts-vivants et le réveille imminent de la déesse des enfers, la força à sortir de son long pèlerinage.
Quand ce fut le moment la porteuse de lumière sortie de son exode interminable au monastère du silence parmi les moines et les prêtres suivants de Solina, l’une des neuf filles d’Einhasad.
Elle devint une grande femme mesurant le mètre quatre-vingt-treize pour quatre-vingts kilos. Une stature plus athlétique qu’avant et des muscles saillants, malgré des courbes fines rappelle de sa féminité toujours présentes. C’est une humaine qui prend soin de son corps avec une certaine prestance, de naissance noble, elle sut tirer le meilleur de son enseignement et vécut dans son passé à Aden où ses parents, les De Rhowan, habitent encore. Ses cheveux sont d’un blond clair s’apparentant à la lumière du soleil et ses yeux bleus saphir rappelant la profondeur des mers du sud. Sa peau un peu hâlée et son regard autant inquisiteur que bienveillant en ont fait tomber plus d’un.
A Aden, dans la cour des nobles, Deirdre était surnommée « la nymphe », ce qui lui valut quelques rixes avec la gent masculine qui la voyait comme une beauté charnelle. Ce fut son lourd fardeau que de s’opposer aux hommes, car comme son père lui déclara un jour : « tu es tellement belle que les hommes ne verront en toi qu’un joué, voilà pourquoi nous t’avons appelé Deirdre, qui signifie en langage ancien, beauté douloureuse », il faudra t’armer de courage et affronter les hommes » ceux pourquoi elle resta vierge. Avec le temps, elle sut se faire respecter et dorénavant plus aucun homme ne s’y frotter au risque de s’y piquer car comme une rose, derrière la beauté peut se cacher d’innombrables épines.
Sa lance, son compagnon de voyage depuis toujours et son armure ne la quitte jamais. Les bals mondains ou les grandes occasions sont les seuls moments où vous la verrez habiller de tissu broder. Un collier serti d’un cristal autour du cou, qu’elle nomma « Cœur d’Einhasad », vous ne la verrez avec aucun autre accessoire pouvant la gêner pendant ses multiples combats.
MagicPilou- Membre
- Messages : 9
Date d'inscription : 18/11/2016
Age : 35
Re: Deirdre De Rhowan
Très bon BG, bien écrit en plus de ça, c'est agréable à voir et à lire. ^^
Zélos- Membre
- Messages : 45
Date d'inscription : 16/11/2016
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